Les promesses de la santé numérique
La rédaction de Questions de transformation - 12 octobre 2018
Inscrivez-vous
à la newsletter
à la newsletter
Forcément, le développement des objets connectés et les progrès de la génomique vont engendrer une masse de données considérable dont vont se délecter les algorithmes d'intelligence artificielle (IA), qui deviennent peu à peu incontournables dans la santé, explique Le Figaro. « L'université de Stanford a démontré que l'IA était meilleure que les dermatologues pour détecter certains mélanomes », explique au quotidien Clément Goehrs, cofondateur de la startup Synapse, qui favorise le bon usage des médicaments. Il poursuit :« Demain, vous pourrez prendre en photo un grain de beauté suspect avec votre smartphone et une application vous délivrera immédiatement son analyse. »
Et la télémédecine ? Son avancée est trop timide en France, regrette dans une tribune, sur Zdnet, Frédéric Charles, directeur Stratégie & Innovation chez Suez Smart Solutions : « Deux conceptions de l'e-santé se profilent, une qui voudrait que le "e-" – qu'il soit "télé" ou "données + IoT" –, ne change rien et que le domaine de la santé reprenne son cours normal en se modernisant. Et puis une seconde qui montre assez simplement que le patient peut devenir acteur et que le numérique change sa relation au système et réorganise les flux d'information dans le système. »






