Le Food se nourrit des technos pour se réinventer
La rédaction de Questions de transformation - 20 septembre 2018
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« Open Food Facts est un projet collaboratif visant à constituer une base de données alimentaire à l'échelle mondiale. Plus besoin de lire les étiquettes : on prend son téléphone, on ouvre l'application et on scanne le code-barres pour obtenir des données sur les ingrédients, les additifs et les valeurs nutritionnelles.L'application permet de voir plus de 500 000 produits qui ont tous leur propre Nutriscore. On peut désormais connaître l'empreinte carbone du produit, les allergènes, et la qualité nutritionnelle du produit. Plusieurs autres applications comme par exemple Yuka, utilisent la base de données créée par Open Facts Food », explique OhMyMag.
La révolution Foodtech, c'est aussi celle de l'approvisionnement en produits frais des restaurants. Selon une étude FoodTech – DigitalFoodLab de 2017, il existe 472 startups qui participent en France à la digitalisation du secteur de la restauration. Parmi elles, Califrais, « plateforme d'approvisionnement de produits frais qui permet aux restaurateurs de gagner en temps et en flexibilité, en réduisant leur nombre de fournisseurs à un unique interlocuteur », détaille The Blog.
Qui dit produits frais, dit agriculture. En France, l'Agtech est le secteur qui concentre la plupart des investissements en... robotique. « De manière complémentaire, de nombreuses startups se sont attaquées au marché de l'agriculture de précision avec pour objectif de fournir des outils permettant à chaque agriculteur d'avoir les données les plus précises sur son exploitation. C'est notamment le cas d'Airinov qui propose des drones qui, en survolant les champs à basse altitude, permettent de créer des zonages extrêmement fins de l'état des sols et des cultures », décrypte Maddyness.






