La France, capitale mondiale de la « deep tech »
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L'une des problématiques majeures des acteurs de la « deep tech » reste encore son financement, mais comme l'expliqueTechwire Asia, les capital-risqueurs commencent à être séduits. La plus grosse société de venture capital de Singapour, Vickers Venture Partners, envisage en effet d'investir massivement dans la deep tech après avoir réussi une levée de fonds de plus de 200 millions d'euros. « Nous sommes concentrés sur la deep tech et son impact », précise le CEO, Finian Tan, qui s'est fait un nom en étant l'un des premiers investisseurs de Baidu. Au menu des investissements : réalité augmentée et virtuelle, robotique et intelligence artificielle.
Ce sont les mêmes technologies qui ont été au cœur du dernier TechCrunch Disrupt, une des grand-messes de la Silicon Valley. « Les solutions disruptives construites autour de technologies uniques, protégées et difficiles à dupliquer ont clairement été le thème dominant de la conférence, écrit The Nation.
L'heure de la deep tech a sonné
En présence de Sebastian Thrun, fondateur de Google X et père de la voiture autonome, la mobilité et le futur des transports ont par exemple permis de mettre les solutions de la deep tech au centre des discussions. « Avec les récentes avancées de l'intelligence artificielle, des voitures autonomes et des drones, la possibilité de voitures volantes est de plus en plus crédible, comme le pense Sebastian Thrun. L'espace disponible dans les airs est sous-utilisé comparé à celui au sol et c'est là que réside le futur du transport », poursuit le quotidien thaïlandais.






