L'innovation ouverte est morte, vive l'organisation ouverte
La rédaction de Questions de transformation - 26 avril 2017
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Chez Schneider Electric, comme l'expliquait Les Echos Business le 24 avril, la nouvelle organisation est surtout décentralisée pour servir un dessein : être au plus proche du terrain et anticiper les signaux faibles. De Boston à Pékin, en passant par Paris, Francfort ou Dubaï, l'équipe dirigeante du géant des équipements électriques a pris possession du monde pour mieux se répartir les clients. C'est par exemple à Londres que s'est installé le dirigeant chargé des finances. « C'est toujours d'Asie qu'œuvrent les ressources humaines, coiffées depuis 2014 par Olivier Blum. L'Asie-Pacifique, qui représente 27 % du chiffre d'affaires total, a ainsi totalisé 43 % des embauches en 2016 », détaille également Les Echos.
Dans un monde en perpétuel changement, l'évolution est devenue une valeur intrinsèque de l'entreprise. Dans une tribune publiée sur le site du magazine Action commerciale, Éric Dosquet, Chief Innovation Officer d'Avanade, intégrateur mondial de solutions Microsoft, énonce cinq critères indispensables à la bonne mise en œuvre des changements organisationnels : co-construire la vision, nourrir la collaboration, promouvoir la performance, s'accorder le droit à l'erreur et se réapproprier l'humain avec le nouveau paradigme « employee first ».






